Danil Panagopoulos est né en 1924 à Pyrgos Ilias. Il étudie la peinture à l'École des beaux-arts d'Athènes avec Konstantinos Parthenis (1944-1947), abandonnant ses études antérieures en médecine. En 1954, il se rend à Paris avec une bourse de trois ans, où il finit par s'installer définitivement. Au début, il est influencé par la peinture abstraite gestuelle, mais bientôt il s'abstient des médiums artistiques conventionnels et rejoint les mouvements d'avant-garde naissants de l'époque.
Au cours des années 60, son art est passé à la trois dimensions, utilisant des cartons d'emballage comme matériau principal (Black Boxes). Ses recherches dans ce domaine sont présentées dans sa première exposition personnelle à Paris (galerie J, 1964). Avec des œuvres similaires, il a participé à l'exposition, Trois propositions pour une nouvelle sculpture grecque, (avec Caniaris et Kessanlis), organisée par Pierre Restany (dans le cadre des événements parallèles de la Biennale de Venise de 1964). Les différends provoqués par cette exposition en Grèce ont révélé le rôle important que la génération des années 60 allait jouer dans le renouveau et la modernisation de l'art grec.
Puis, après avoir été critique vis-à-vis de la technologie à travers son travail Boîtes électriques (avec lequel il participe à l'exposition Avant-garde Griechenland en Allemagne en 1968), il revient aux œuvres murales. Après 1972, son matériau de base devient la toile de jute, déchirée, colorée ou usée, comme une recherche sur la relation entre les surfaces planes, l'espace et la lumière. Ces œuvres, qui révèlent souvent une affinité avec le mouvement artistique français Support-Surface, expriment également les recherches spirituelles de l'artiste et ses réflexions sur l'art et la société.
Il a présenté de nombreuses expositions personnelles (certaines rétrospectives), principalement en France et en Grèce. Il a également participé à de grandes expositions collectives et à des foires internationales dans divers pays.
Il a été membre du Comité du Salon des Comparaisons à Paris pendant des décennies.
Il a publié des essais critiques et trois livres : Pratique et pensée de la peinture (1973), Chiaroscuro A (1982) et Selections from the Journal 1973-1985 (1987).
En 1998, l'exposition rétrospective Danil, 1950-1997 a été organisée à la Galerie nationale d'art d'Athènes.
Il passa les dernières années de sa vie isolé à Pyrgos. Il a fait don d'une grande partie de son travail à la Galerie nationale d'art d'Athènes un an avant sa mort (Pyrgos, 2008).
Au cours des années 60, son art est passé à la trois dimensions, utilisant des cartons d'emballage comme matériau principal (Black Boxes). Ses recherches dans ce domaine sont présentées dans sa première exposition personnelle à Paris (galerie J, 1964). Avec des œuvres similaires, il a participé à l'exposition, Trois propositions pour une nouvelle sculpture grecque, (avec Caniaris et Kessanlis), organisée par Pierre Restany (dans le cadre des événements parallèles de la Biennale de Venise de 1964). Les différends provoqués par cette exposition en Grèce ont révélé le rôle important que la génération des années 60 allait jouer dans le renouveau et la modernisation de l'art grec.
Puis, après avoir été critique vis-à-vis de la technologie à travers son travail Boîtes électriques (avec lequel il participe à l'exposition Avant-garde Griechenland en Allemagne en 1968), il revient aux œuvres murales. Après 1972, son matériau de base devient la toile de jute, déchirée, colorée ou usée, comme une recherche sur la relation entre les surfaces planes, l'espace et la lumière. Ces œuvres, qui révèlent souvent une affinité avec le mouvement artistique français Support-Surface, expriment également les recherches spirituelles de l'artiste et ses réflexions sur l'art et la société.
Il a présenté de nombreuses expositions personnelles (certaines rétrospectives), principalement en France et en Grèce. Il a également participé à de grandes expositions collectives et à des foires internationales dans divers pays.
Il a été membre du Comité du Salon des Comparaisons à Paris pendant des décennies.
Il a publié des essais critiques et trois livres : Pratique et pensée de la peinture (1973), Chiaroscuro A (1982) et Selections from the Journal 1973-1985 (1987).
En 1998, l'exposition rétrospective Danil, 1950-1997 a été organisée à la Galerie nationale d'art d'Athènes.
Il passa les dernières années de sa vie isolé à Pyrgos. Il a fait don d'une grande partie de son travail à la Galerie nationale d'art d'Athènes un an avant sa mort (Pyrgos, 2008).
